L’autre dimanche, j’étais d’expédition dans Paris. Sur lon trajet de retoour, mes pas m'ont conduit devant une jolie petite église très bien éclairée où l'office commençait. Pourquoi pas ? Officiant africain, micro parfaitment réglé (c'est rare...), très belle homélie exprimée dans un français soutenu et moderne (c'est appréciable).
Pendant l'office, il y avait un diacre qui participait à l'office, pourquoi pas ? A la fin de l'office, un des prêtres l'a présenté ainsi que sa femme. Etait-ce bien nécessaire ? Oui et non. Mais j'intègre dans ça dans une plus grande globalité.
Je suis outré qu'un homme marié "délaisse" sa femme pour la vocation religieuse. Quand on se marie religieusement, c'est pour le meilleur et pour le pire, principalement le matériel (dans notre société matérialiste que j'exècre pour le mal qu'elle cause...) mais également dans le spirituel.
J'ai une conception assez exclusive de l'engagement à l'autre, j'estime qu'on ne peut pas s'engager convenablement à son conjoint et à Dieu, j'y vois un opportunisme assez trivial et ça ne rentre pas dans mes canons de la foi religieuse. Je n'ai pas peur d'admettre non plus que je suis peut-être un peu jeune sur la question et que j'ai peut-être besoin d'enrichir mon raisonnement sur la question.
D'une certaine manière, je considère que l'officiant, en présentant la femme du diacre, a encouragé l'abnégation de cette femme à sa propre dignité, à sa propre existence dans le seul intérêt (matérialiste) des effectifs du clergé parisien et au mépris de toute morale religieuse. Tromper sa femme par le diaconat ne m'apparaît plus immoral que de la tromper pour une jeunette. Si la femme est consentante, il n'y a rien à dire. Il y a des personnes qui considèrent encore que la religion autorise d'imposer toutes les abnégations, je trouve que c'est d'un archaïsme inutile et ridicule, d'autant qu'il n'y en a probablement aucune reconnaissance dans la mort (sainteté). Il y a des cas, rares, où la femme mourante d'un cancer très symboliquement féminin, utérus, sein, veut voir son mari redémarrer une vie heureuse avant de partir.
Pendant l'office, il y avait un diacre qui participait à l'office, pourquoi pas ? A la fin de l'office, un des prêtres l'a présenté ainsi que sa femme. Etait-ce bien nécessaire ? Oui et non. Mais j'intègre dans ça dans une plus grande globalité.
Je suis outré qu'un homme marié "délaisse" sa femme pour la vocation religieuse. Quand on se marie religieusement, c'est pour le meilleur et pour le pire, principalement le matériel (dans notre société matérialiste que j'exècre pour le mal qu'elle cause...) mais également dans le spirituel.
J'ai une conception assez exclusive de l'engagement à l'autre, j'estime qu'on ne peut pas s'engager convenablement à son conjoint et à Dieu, j'y vois un opportunisme assez trivial et ça ne rentre pas dans mes canons de la foi religieuse. Je n'ai pas peur d'admettre non plus que je suis peut-être un peu jeune sur la question et que j'ai peut-être besoin d'enrichir mon raisonnement sur la question.
D'une certaine manière, je considère que l'officiant, en présentant la femme du diacre, a encouragé l'abnégation de cette femme à sa propre dignité, à sa propre existence dans le seul intérêt (matérialiste) des effectifs du clergé parisien et au mépris de toute morale religieuse. Tromper sa femme par le diaconat ne m'apparaît plus immoral que de la tromper pour une jeunette. Si la femme est consentante, il n'y a rien à dire. Il y a des personnes qui considèrent encore que la religion autorise d'imposer toutes les abnégations, je trouve que c'est d'un archaïsme inutile et ridicule, d'autant qu'il n'y en a probablement aucune reconnaissance dans la mort (sainteté). Il y a des cas, rares, où la femme mourante d'un cancer très symboliquement féminin, utérus, sein, veut voir son mari redémarrer une vie heureuse avant de partir.
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