Je ne veux pas du tout parler de performances sexuelles en tout genre, je trouve ça trivial et inutile, et me concernant... ça n'intéresse personne (du moins, tel est mon souhait... Héhéhé!). On peut peut-être en revendiquer, d'accord, tant mieux, mais est-ce que cela veut certainement dire que l'on vit une vie sexuelle satisfaisante ? J'en doute fortement. Personnellement, je ne vois rien à revendiquer, on me questionne, je refuse catégoriquement de répondre et si ma vie sexuelle ne me convenait pas, j'estime qu'il ne tiendrait qu'à moi de l'améliorer, soit par des choix personnels, soit en m'informant pour trouver ce qui pourrait mieux me convenir, soit par la lecture ou en consultant le spécialiste le mieux adapté.
On fait de la question sexe un tabou dans notre société. Soit. Il y a 5 ans, j'étais quelqu'un de très, très coincé sur le sujet, je me trimballais toujours habillé ras du cou, ras des chevilles, ras des poignets et on peut dire que ma devise était "Cachez ce sein que je ne saurai voir." (pour mieux regarder tout ce que je voulais voir, de façon archi-malsaine). Depuis, j'ai eu la chance de croiser des gens merveilleux, des hommes et des femmes de tout âge, de toutes origines, pas particulièrement nymphomanes, du moins, pas plus que la bonne moyenne. Mais qui m'ont appris à relativiser les vraies nécessités et les vraies autorisations. Et qui m'ont fait voir qu'il n'y a pas de mal à vivre la sexualité qu'on ne choisit pas consciemment mais celle qui est la sienne.
Et si le tabou de la sexualité n'était que la prise de conscience collective (d'où le tabou généralisé) que le véritable secret de l'épanouissement de chacun d'entre nous était de vivre en simple accord avec sa sexualité, une sexualité contre laquelle on ne peut rien puisqu'elle s'impose différemment à chacun d'entre nous. Une sexualité que l'on doit de s'admettre dans sa vie et dont il faudrait agencer sa vie tout autour, en harmonie et en cohérence. Il faut alors se résigner à ne plus être dans la facilité des convenances sociales mais dans la dignité de son seul épanouissement personnel. Il faut alors reconnaître la lutte des générations précédentes pour atteindre ce droit, ça n'a pas été sans mal.
On fait de la question sexe un tabou dans notre société. Soit. Il y a 5 ans, j'étais quelqu'un de très, très coincé sur le sujet, je me trimballais toujours habillé ras du cou, ras des chevilles, ras des poignets et on peut dire que ma devise était "Cachez ce sein que je ne saurai voir." (pour mieux regarder tout ce que je voulais voir, de façon archi-malsaine). Depuis, j'ai eu la chance de croiser des gens merveilleux, des hommes et des femmes de tout âge, de toutes origines, pas particulièrement nymphomanes, du moins, pas plus que la bonne moyenne. Mais qui m'ont appris à relativiser les vraies nécessités et les vraies autorisations. Et qui m'ont fait voir qu'il n'y a pas de mal à vivre la sexualité qu'on ne choisit pas consciemment mais celle qui est la sienne.
Et si le tabou de la sexualité n'était que la prise de conscience collective (d'où le tabou généralisé) que le véritable secret de l'épanouissement de chacun d'entre nous était de vivre en simple accord avec sa sexualité, une sexualité contre laquelle on ne peut rien puisqu'elle s'impose différemment à chacun d'entre nous. Une sexualité que l'on doit de s'admettre dans sa vie et dont il faudrait agencer sa vie tout autour, en harmonie et en cohérence. Il faut alors se résigner à ne plus être dans la facilité des convenances sociales mais dans la dignité de son seul épanouissement personnel. Il faut alors reconnaître la lutte des générations précédentes pour atteindre ce droit, ça n'a pas été sans mal.
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