J'ai un peu pitié de mon lectorat, donc je ferai bref. J'ai bien peur que la tendance actuelle à cette réponse soit radicalement oui, mais d'une façon très inavouable (il suffit de lire mon blog pour en avoir des tas et des tas d'exemples plus triviaux, plus sordides les uns que les autres).
J'ai fait le choix dans ma vie d'y répondre non et je crois que c'est le chemin de la liberté, de l'épanouissement sur le très long terme (je ne vis que sur le long terme dans une société qui ne vit que de l'immédiateté). A la base, j'ai surtout fait le choix de refuser le commandement d'une quelconque norme sociale, encore moins si elle devait être unique (Ca n'a rien d'évident et c'est ce qui fait tout le "charme", diabolique, de notre société!).
A mon sens, la norme sociale existe comme Pierre, Paul, Jacques existent tout autour de moi, dans l'humilité la plus absolue de leurs spécificités et de leurs différences. Ils ont peut-être des pistes de réflexion à m'apporter, je suis curieux de les connaître et d'en intégrer le meilleur à ma personne et à ma personalité.
Le ton mortifère ? C'est grotesque, je n'ai pas besoin d'un Père Fouettard dans ma vie. Un ton mortifère, c'est pour tenter de rendre crédible ce qui ne l'est pas en convictions, parfois des menaces, c'est un jeu puéril qui ne m'intéresse pas. En général, je ridiculise de tels personnes avec leurs propres mots qu'ils viennent d'employer, toute discussion devient impossible tant ils prennent conscience des âneries qu'ils peuvent dire spontanément.
De nos jours, en cas de conflit personnel avec quelqu'un, si vous voulez triompher, n'engagez pas la discussion, laissez l'autre venir à vous, mettez-vous dans une attitude de sérénité en désarmorçant les critiques, en reconnaissant tout de suite vos éventuelles erreurs et en vous disant que vous n'avez rien à vous reprocher, (il faut s'en persuader auparavant en faisant le ménage dans sa tête). Dites vous que ce que l'on va vous dire, ce sont des mots creux dans une langue que vous ne comprenez pas et qu'il faut vous traduire ("traduire" qu'il y a une raison valable de vous les attribuer, raison fondée sur un argumentaire valable et solide). Ne soyez pas rancuniers ni haineux, vous y perdriez votre temps. Contentez-vous d'écouter et de retourner les incohérences et la vacuité du propos (ce ne sont généralement que des mots considérés comme des insultes dans votre langue. Mais pourquoi les considérer comme tels ? Pourquoi être les moutons de Panurge des insultes de la langue française ? Pourquoi ne pas les considérer comme des borborygmes fondés sur rien, ils n'ont aucun sens pour les étrangers qui ne parlent pas français! Il faut vous indiquer en quoi ils vous sont attribuables). En procédant ainsi, vous n'éclaircirez rien cette fois ci (frustrant parfois) mais l'autre s'enfuira en courant, il s'est "suicidé", il s'est "auto-humilié", il vous évitera systématiquement avec un regard haineux pour vous culpabiliser mais en réalité, il est vexé de pouvoir dire de telles âneries dans les grandes largeurs, sans savoir se restreindre. Il est haineux de n'avoir rien résolu contre sa détermination première, à la limite d'un certain fanatisme (parce qu'il faut quand même se souvenir qui a commencé à agresser verbalement ...). Il est haineux de ne pas l'avoir compris par lui-même mais que quelqu'un ait été plus lucide que lui-même sur lui-même alors qu'ils le dit lui-même, rien que par le ton de sa voix, que l'on écoute bien souvent insuffisamment.
J'ai fait le choix dans ma vie d'y répondre non et je crois que c'est le chemin de la liberté, de l'épanouissement sur le très long terme (je ne vis que sur le long terme dans une société qui ne vit que de l'immédiateté). A la base, j'ai surtout fait le choix de refuser le commandement d'une quelconque norme sociale, encore moins si elle devait être unique (Ca n'a rien d'évident et c'est ce qui fait tout le "charme", diabolique, de notre société!).
A mon sens, la norme sociale existe comme Pierre, Paul, Jacques existent tout autour de moi, dans l'humilité la plus absolue de leurs spécificités et de leurs différences. Ils ont peut-être des pistes de réflexion à m'apporter, je suis curieux de les connaître et d'en intégrer le meilleur à ma personne et à ma personalité.
Le ton mortifère ? C'est grotesque, je n'ai pas besoin d'un Père Fouettard dans ma vie. Un ton mortifère, c'est pour tenter de rendre crédible ce qui ne l'est pas en convictions, parfois des menaces, c'est un jeu puéril qui ne m'intéresse pas. En général, je ridiculise de tels personnes avec leurs propres mots qu'ils viennent d'employer, toute discussion devient impossible tant ils prennent conscience des âneries qu'ils peuvent dire spontanément.
De nos jours, en cas de conflit personnel avec quelqu'un, si vous voulez triompher, n'engagez pas la discussion, laissez l'autre venir à vous, mettez-vous dans une attitude de sérénité en désarmorçant les critiques, en reconnaissant tout de suite vos éventuelles erreurs et en vous disant que vous n'avez rien à vous reprocher, (il faut s'en persuader auparavant en faisant le ménage dans sa tête). Dites vous que ce que l'on va vous dire, ce sont des mots creux dans une langue que vous ne comprenez pas et qu'il faut vous traduire ("traduire" qu'il y a une raison valable de vous les attribuer, raison fondée sur un argumentaire valable et solide). Ne soyez pas rancuniers ni haineux, vous y perdriez votre temps. Contentez-vous d'écouter et de retourner les incohérences et la vacuité du propos (ce ne sont généralement que des mots considérés comme des insultes dans votre langue. Mais pourquoi les considérer comme tels ? Pourquoi être les moutons de Panurge des insultes de la langue française ? Pourquoi ne pas les considérer comme des borborygmes fondés sur rien, ils n'ont aucun sens pour les étrangers qui ne parlent pas français! Il faut vous indiquer en quoi ils vous sont attribuables). En procédant ainsi, vous n'éclaircirez rien cette fois ci (frustrant parfois) mais l'autre s'enfuira en courant, il s'est "suicidé", il s'est "auto-humilié", il vous évitera systématiquement avec un regard haineux pour vous culpabiliser mais en réalité, il est vexé de pouvoir dire de telles âneries dans les grandes largeurs, sans savoir se restreindre. Il est haineux de n'avoir rien résolu contre sa détermination première, à la limite d'un certain fanatisme (parce qu'il faut quand même se souvenir qui a commencé à agresser verbalement ...). Il est haineux de ne pas l'avoir compris par lui-même mais que quelqu'un ait été plus lucide que lui-même sur lui-même alors qu'ils le dit lui-même, rien que par le ton de sa voix, que l'on écoute bien souvent insuffisamment.
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