Aujourd'hui, petite promenade (de santé ?) dans le bon vieux Marais. Je passe devant la seule maison de la presse (à l'angle de la rue des Archives) et je tombe en vitrine sur le magazine Technikart (que je ne lis jamais... Je ferai peut-être bien!)
Annoncé en titre "Apéro-couples / Génération Bouteille / GENERATION PICOLE" (en voyant le site Internet, ça aurait rapport avec l'éthylisme de la chanteuse Amy Winehouse qui serait "au bout du goulot" et dont "les frasques sentiraient fort la bibine"). Rien est épargné.
Bah, on recoupe ce que je dis déjà depuis pas mal de temps ici sur mon blog. On a beau être riche, célèbre, se la jouer princesse de contes de fées et ne pas être heureux/heureuse (cf ce que je disais déjà sur Paris Hilton) pour mieux rechercher les paradis artificiels comme l'enivrement alcoolique. Je trouve que l'alcool (du moins en France), c'est la plus insidieuse des drogues puisqu'elle est librement accessible quand on va acheter sa tranche de jambon. Hier, on m'a opposé que les clopes, c'était pareil. Non, c'est déjà une boutique plus spécifique.
L'alcool, pour quelqu'un qui est mal dans sa tête, dans sa peau, dans son cheminement vers son plein épanouissement personnel, c'est la lucarne d'un soir vers la désinhibition, vers l'éventualité de pouvoir se révéler un soir, de se trouver un(e) partenaire. C'est complètement fallacieux. L'épanouissement n'est pas dans la révélation d'un soir (je peux en parler quasiment en expert!) mais une cascade de conclusions bien élaborées par les différentes épreuves endurées.
Peut-on se sortir de l'alcoolisme ? Oui, avec beaucoup de volonté (une volonté qui se fait très rare aujourd'hui car presque personne ne veut plus s'engager à croire dans les vertus thérapeutiques de la communication, même si tout le monde prétend être disposé à croire à tout et n'importe quoi, si ça résoud les problèmes sans douleurs et sans souffrances...).
Dans la majeure partie des cas, je suis donc très pessimiste sauf à accepter de parler sérieusement de son problème qui a conduit à l'éthylisme (en général, parler à un thérapeute spécialisé. Parce qu'on peut aussi aller voir un thérapeute et volontairement plomber les séances en lui racontant des banalités aussi...)
Bah, on recoupe ce que je dis déjà depuis pas mal de temps ici sur mon blog. On a beau être riche, célèbre, se la jouer princesse de contes de fées et ne pas être heureux/heureuse (cf ce que je disais déjà sur Paris Hilton) pour mieux rechercher les paradis artificiels comme l'enivrement alcoolique. Je trouve que l'alcool (du moins en France), c'est la plus insidieuse des drogues puisqu'elle est librement accessible quand on va acheter sa tranche de jambon. Hier, on m'a opposé que les clopes, c'était pareil. Non, c'est déjà une boutique plus spécifique.
L'alcool, pour quelqu'un qui est mal dans sa tête, dans sa peau, dans son cheminement vers son plein épanouissement personnel, c'est la lucarne d'un soir vers la désinhibition, vers l'éventualité de pouvoir se révéler un soir, de se trouver un(e) partenaire. C'est complètement fallacieux. L'épanouissement n'est pas dans la révélation d'un soir (je peux en parler quasiment en expert!) mais une cascade de conclusions bien élaborées par les différentes épreuves endurées.
Peut-on se sortir de l'alcoolisme ? Oui, avec beaucoup de volonté (une volonté qui se fait très rare aujourd'hui car presque personne ne veut plus s'engager à croire dans les vertus thérapeutiques de la communication, même si tout le monde prétend être disposé à croire à tout et n'importe quoi, si ça résoud les problèmes sans douleurs et sans souffrances...).
Dans la majeure partie des cas, je suis donc très pessimiste sauf à accepter de parler sérieusement de son problème qui a conduit à l'éthylisme (en général, parler à un thérapeute spécialisé. Parce qu'on peut aussi aller voir un thérapeute et volontairement plomber les séances en lui racontant des banalités aussi...)
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