Trouvé sur l'excellent blog de Karl Zéro (je ne parle pas ici de l'humoriste, divertissant régulièrement mais plutôt l'excellent journaliste d'investigation).
samedi 29 décembre 2007
vendredi 28 décembre 2007
Condoléances
Benazir Bhutto (1953-2007)
Encore un personnage de paix qui disparaît dans la violence...
mercredi 26 décembre 2007
Explication (très humble !) des élections primaires américaines
Le 3 janvier prochain vont commencer les élections primaires américaines, première étape de l’élection présidentielle américaine.
Rien dans la Constitution américaine n’exige la tenue des primaires, ce n’est qu’un usage très ancien pour désigner les candidats de chaque parti. (En 2004 si je me souviens bien, le parti républicain de George W. Bush avait décidé de ne pas en organiser puisqu’il y avait consensus général au sein du parti pour le désigner comme candidat à l’élection présidentielle, qu’il a gagné).
En 2008, aux termes de la Constitution, le président sortant arrive au terme de deux mandats consécutifs et il ne peut pas se représenter donc les deux partis (le parti démocrate de Hillary Clinton et le parti républicain de George W. Bush, parti qui se veut parti des valeurs morales puritaines malgré tous les sex-scandals récents, Larry Craig, Ted Haggard, Mark Foley & co). Ces deux partis doivent se soumettre à l’usage des primaires.
Au sein de chaque parti, toute personne ayant une notoriété suffisante et désireuse de devenir président(e) annonce son intention de devenir président. Les candidats actuellement (fin décembre 2007) parlent actuellement que pour se faire connaître du public.
En janvier, les élections primaires vont commencer. Toute élection primaire se fait au niveau des états. Chaque section du parti décide au niveau de l’état quelle forme de primaire il souhaite organiser. Soit un “caucus” (seuls les cadres du parti participent au scrutin, explication dans une vidéo du staff de campagne de Hillary Clinton, en anglais).
Il peut également s'agir d'une primaire ouverte (tout habitant de l’état inscrit sur les listes électorales de l'état peut participer au scrutin), soit une primaire fermée (seuls les adhérents du parti peuvent participer au scrutin). Ce sont les adhérents les plus mobilisés de chaque parti qui font traditionnellement le résultat des primaires (ils savent qu'ils ne feront pas l'élection, trop "extrémistes" mais que le candidat de chaque parti se fait dans les primaires qui ne mobilisent pas tellement l'américain lambda... D'où la place importante de la religion dans le combat des primaires chez les Républicains, le parti qui se veut défenseur des valeurs morales. Mais l'autre parti, le parti démocrate, ne peut pas être en reste puisque dans certaines primaires, le même électeur américain choisit le candidat républicain et démocrate qu'il veut voir désigné pour la présidentielle de novembre...)
Quel scrutin ? Les gens en mesure de voter votent pour le candidat qu’ils souhaitent voir investi au sein du parti, ce qui intéresse vraiment tout le monde. Protocolairement, les électeurs votent pour les représentants de tel ou tel candidat à l’investiture du parti (fin de l'été au cours de la convention du parti, voir plus loin). Toute l’élection présidentielle américaine se fonde sur les états en fonction de leur population, donc les candidats aux primaires (puis à l’élection présidentielle) se décarcassent véritablement pour les états les plus peuplés (Texas, Californie, les états de la côte ouest, les états du Middle West sont diplomatiquement négligés...L'Iowa, état du Middle West, a son intérêt pour être un des premiers à l'organiser, ce qui permet de dégager un premier écrémage)
Chaque candidat acquiert des représentants. Très vite, certains en accumulent un très grand nombre et d’autres, un nombre ridicule. Les autres abandonnent et se rallient à d’autres candidats au sein du parti. Les primaires durent généralement le premier semestre de l’année de l’élection présidentielle et coûtent très cher à organiser. Plus on avance dans les primaires, plus les candidats à l’investiture du parti se dégagent. Les dernières primaires sont souvent un secret de polichinelle. En 2008, aucun état ne veut être le dernier état à organiser un tralala/secret de polichinelle, donc tout le calendrier a été resserré. Mais les candidats devront alors jouer de stratégie pour savoir dans quel état ils devront être le jour où il y aura plusieurs primaires déterminantes d’organisées.
Au terme des primaires, il suffit de comptabiliser le nombre de représentants de chaque candidat à l’investiture et qui est toujours en lice pour savoir qui va être le candidat officiel de chaque parti.
Il y a une grande messe électorale (fin de l’été), un grand carnaval pour officialiser tout cela avec un scrutin très festif que l’on appelle “la convention du parti”. Pour le parti démocrate, il aura lieu du lundi 25 août 2008 au jeudi 28 à Denver, Colorado alors que la convention du parti républicain commencera le 1er septembre 2008 à Saint Paul, dans le Minnesota.
Protocolairement, l’enjeu est la désignation du candidat officiel du parti (même si tout le monde le sait avant). Le “ticket” est élaboré (aux Etats-Unis, lors de l’élection présidentielle, on vote pour le ticket, le couple Président/Vice-président. (Même s’ils sont élus ensemble, il est déjà arrivé que les deux hommes appelés à travailler ensemble se détestent. En règle générale, il est bien évident que les motivations derrière le choix du vice-président sont, bien sûr, de nature électorale : il s'agit d'équilibrer le ticket afin de le rendre attrayant dans un maximum d'États. Par exemple, si le candidat principal est issu d'un état du sud, son co-listier sera probablement issu d'un état du nord ; s'il est perçu comme étant un modéré au sein de son parti, on choisira un co-listier plus engagé, etc.
Le véritable enjeu est la discussion des courants entre eux pour le grand marchandage des postes à pourvoir (ambassades, fonctions ministérielles, nominations présidentielles).
Commence ensuite la campagne électorale puis l’élection présidentielle, chaque parti ayant son candidat officiel.
L’élection est au suffrage universel indirect. Dans l’usage, l’électeur américain vote pour son candidat au niveau fédéral. Dans les faits, selon la Constitution, il vote pour la liste de Grands Electeurs du parti de son candidat. Les votes sont comptabilisés au niveau de chaque état. L’état qui remporte la majorité simple des voix remporte tous les Grands Electeurs de cet état. Le nombre de Grands Electeurs d’un état est (pour faire simple) proportionnel à la population de cet état. Donc les états les plus peuplés sont les plus courtisés (En 2004, un état très peuplé, j’ai oublié lequel, a vu passer une quarantaine de fois le candidat Bush alors que des états beaucoup moins peuplés ne l’ont jamais vu...)
Au soir du vote, il suffit de compter qui a remporté le plus grand nombre de Grands Electeurs. Constititutionnellement, il y a un protocole à respecter (les Grands Electeurs se réunissent et élisent le président mais vu leur majorité, on sait qui va récolter le plus grand nombre de voix. Une fois ce vote réalisé, les Grands Electeurs ne sont plus rien constitutionnellement mais ils ont marchandé pendant la Convention du parti leur voix...)
Si le général De Gaulle n’avait pas fait adopter par référendum l’élection du président de la République au suffrage universel direct en 1962, nous serions toujours dans un système similaire de désignation du président de la République. (La désignation des maires des mairies centrales de Paris, Lyon, Marseille s’apparente au système de l’élection présidentielle américaine depuis la loi PLM de 1982).
Le système de désignation du président des Etats-Unis par le système des Grands Electeurs est généralement considéré comme particulièrement archaïque aujourd’hui. A l’époque, on élisait les Grands Electeurs par états pour que les résultats ne puissent pas être faussés sur le parcours de plusieurs jours entre la côte ouest et Washington DC.
Rien dans la Constitution américaine n’exige la tenue des primaires, ce n’est qu’un usage très ancien pour désigner les candidats de chaque parti. (En 2004 si je me souviens bien, le parti républicain de George W. Bush avait décidé de ne pas en organiser puisqu’il y avait consensus général au sein du parti pour le désigner comme candidat à l’élection présidentielle, qu’il a gagné).
En 2008, aux termes de la Constitution, le président sortant arrive au terme de deux mandats consécutifs et il ne peut pas se représenter donc les deux partis (le parti démocrate de Hillary Clinton et le parti républicain de George W. Bush, parti qui se veut parti des valeurs morales puritaines malgré tous les sex-scandals récents, Larry Craig, Ted Haggard, Mark Foley & co). Ces deux partis doivent se soumettre à l’usage des primaires.
Au sein de chaque parti, toute personne ayant une notoriété suffisante et désireuse de devenir président(e) annonce son intention de devenir président. Les candidats actuellement (fin décembre 2007) parlent actuellement que pour se faire connaître du public.
En janvier, les élections primaires vont commencer. Toute élection primaire se fait au niveau des états. Chaque section du parti décide au niveau de l’état quelle forme de primaire il souhaite organiser. Soit un “caucus” (seuls les cadres du parti participent au scrutin, explication dans une vidéo du staff de campagne de Hillary Clinton, en anglais).
Il peut également s'agir d'une primaire ouverte (tout habitant de l’état inscrit sur les listes électorales de l'état peut participer au scrutin), soit une primaire fermée (seuls les adhérents du parti peuvent participer au scrutin). Ce sont les adhérents les plus mobilisés de chaque parti qui font traditionnellement le résultat des primaires (ils savent qu'ils ne feront pas l'élection, trop "extrémistes" mais que le candidat de chaque parti se fait dans les primaires qui ne mobilisent pas tellement l'américain lambda... D'où la place importante de la religion dans le combat des primaires chez les Républicains, le parti qui se veut défenseur des valeurs morales. Mais l'autre parti, le parti démocrate, ne peut pas être en reste puisque dans certaines primaires, le même électeur américain choisit le candidat républicain et démocrate qu'il veut voir désigné pour la présidentielle de novembre...)
Quel scrutin ? Les gens en mesure de voter votent pour le candidat qu’ils souhaitent voir investi au sein du parti, ce qui intéresse vraiment tout le monde. Protocolairement, les électeurs votent pour les représentants de tel ou tel candidat à l’investiture du parti (fin de l'été au cours de la convention du parti, voir plus loin). Toute l’élection présidentielle américaine se fonde sur les états en fonction de leur population, donc les candidats aux primaires (puis à l’élection présidentielle) se décarcassent véritablement pour les états les plus peuplés (Texas, Californie, les états de la côte ouest, les états du Middle West sont diplomatiquement négligés...L'Iowa, état du Middle West, a son intérêt pour être un des premiers à l'organiser, ce qui permet de dégager un premier écrémage)
Chaque candidat acquiert des représentants. Très vite, certains en accumulent un très grand nombre et d’autres, un nombre ridicule. Les autres abandonnent et se rallient à d’autres candidats au sein du parti. Les primaires durent généralement le premier semestre de l’année de l’élection présidentielle et coûtent très cher à organiser. Plus on avance dans les primaires, plus les candidats à l’investiture du parti se dégagent. Les dernières primaires sont souvent un secret de polichinelle. En 2008, aucun état ne veut être le dernier état à organiser un tralala/secret de polichinelle, donc tout le calendrier a été resserré. Mais les candidats devront alors jouer de stratégie pour savoir dans quel état ils devront être le jour où il y aura plusieurs primaires déterminantes d’organisées.
Au terme des primaires, il suffit de comptabiliser le nombre de représentants de chaque candidat à l’investiture et qui est toujours en lice pour savoir qui va être le candidat officiel de chaque parti.
Il y a une grande messe électorale (fin de l’été), un grand carnaval pour officialiser tout cela avec un scrutin très festif que l’on appelle “la convention du parti”. Pour le parti démocrate, il aura lieu du lundi 25 août 2008 au jeudi 28 à Denver, Colorado alors que la convention du parti républicain commencera le 1er septembre 2008 à Saint Paul, dans le Minnesota.
Protocolairement, l’enjeu est la désignation du candidat officiel du parti (même si tout le monde le sait avant). Le “ticket” est élaboré (aux Etats-Unis, lors de l’élection présidentielle, on vote pour le ticket, le couple Président/Vice-président. (Même s’ils sont élus ensemble, il est déjà arrivé que les deux hommes appelés à travailler ensemble se détestent. En règle générale, il est bien évident que les motivations derrière le choix du vice-président sont, bien sûr, de nature électorale : il s'agit d'équilibrer le ticket afin de le rendre attrayant dans un maximum d'États. Par exemple, si le candidat principal est issu d'un état du sud, son co-listier sera probablement issu d'un état du nord ; s'il est perçu comme étant un modéré au sein de son parti, on choisira un co-listier plus engagé, etc.
Le véritable enjeu est la discussion des courants entre eux pour le grand marchandage des postes à pourvoir (ambassades, fonctions ministérielles, nominations présidentielles).
Commence ensuite la campagne électorale puis l’élection présidentielle, chaque parti ayant son candidat officiel.
L’élection est au suffrage universel indirect. Dans l’usage, l’électeur américain vote pour son candidat au niveau fédéral. Dans les faits, selon la Constitution, il vote pour la liste de Grands Electeurs du parti de son candidat. Les votes sont comptabilisés au niveau de chaque état. L’état qui remporte la majorité simple des voix remporte tous les Grands Electeurs de cet état. Le nombre de Grands Electeurs d’un état est (pour faire simple) proportionnel à la population de cet état. Donc les états les plus peuplés sont les plus courtisés (En 2004, un état très peuplé, j’ai oublié lequel, a vu passer une quarantaine de fois le candidat Bush alors que des états beaucoup moins peuplés ne l’ont jamais vu...)
Au soir du vote, il suffit de compter qui a remporté le plus grand nombre de Grands Electeurs. Constititutionnellement, il y a un protocole à respecter (les Grands Electeurs se réunissent et élisent le président mais vu leur majorité, on sait qui va récolter le plus grand nombre de voix. Une fois ce vote réalisé, les Grands Electeurs ne sont plus rien constitutionnellement mais ils ont marchandé pendant la Convention du parti leur voix...)
Si le général De Gaulle n’avait pas fait adopter par référendum l’élection du président de la République au suffrage universel direct en 1962, nous serions toujours dans un système similaire de désignation du président de la République. (La désignation des maires des mairies centrales de Paris, Lyon, Marseille s’apparente au système de l’élection présidentielle américaine depuis la loi PLM de 1982).
Le système de désignation du président des Etats-Unis par le système des Grands Electeurs est généralement considéré comme particulièrement archaïque aujourd’hui. A l’époque, on élisait les Grands Electeurs par états pour que les résultats ne puissent pas être faussés sur le parcours de plusieurs jours entre la côte ouest et Washington DC.
mardi 25 décembre 2007
Le sida a encore de beaux jours devant lui...
Hier, j'ai discuté de sida avec un ami. Grosse polémique, tendance énorme. J'ai avancé un argument QUE J'AI LU !!!! sur le site Sida Info Service et l'ami a eu l'aplomb de me répondre que ce n'était pas vrai. Vu l'ampleur de la réalité du sida, faut quand même être très con tendance monstrueuse pour colporter des conneries non fondées sur le sida... Quelle était sa source ? Le bouche à oreille. La valeur du bouche à oreille en matière de prévention est de notoriété publique et on continue à s'y fier. J'ai peur.
On m'a déjà proposé d'avoir un rapport sexuel non protégé. La personne m'a juste dit préalablement: "Je suis séronégatif et toi ?". Je ne rigole pas avec tant de désinvolture, on peut cacher (de façon tout à fait compréhensible) sa séropositivité comme un casier judiciaire ou un passé psychiatrique qui pourrait tout autant effrayer le partenaire et de façon parfaitement légitime. Donc, je refuse toujours de répondre mais je dis toujours à l'autre: "Je refuse de te dire ma sérologie à l'égard du sida mais si tu le souhaites, on va faire un test dans un centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG). Si j'en fais un pour toi, je veux que tu en fasses un en même temps".
La polémique avec mon ami hier soir est venue du fait de savoir le délai d'incubation du sida. Comme on peut le lire ici, pour être totalement sûr de sa sérologie (séropositivité ou séronégativité) après exposition à un risque, il faut attendre trois mois après le rapport sexuel concerné. Le corps médical a bien une vague idée avec un fort taux de probabilité au bout de 4 semaines mais la certitude absolue est au terme de 3 mois. Je me suis déjà fait traiter d'imbécile pas du tout au fait des dernières technologies, il ne s'agirait plus que de 2 mois. Sida Info Service dit bien trois mois, je n'ai pas connaissance d'une autre structure officielle en la matière qui écrive noir sur blanc autre chose sur le web. Ce qui a fait relativiser l'autre sur l'état de mon imbécilité en la matière.
L'ami m'a dit hier soir que j'avais tout faux, on le sait dès le résultat de la prise de sang avec confirmation une semaine après... Voir des gens qui prétendent savoir mieux que le corps médical les réalités des pires maladies, et ce, de façon péremptoire, ça me fait bondir! (Je ne prétends pas détenir la science infuse ni être au fait des dernières avancées scientifiques, mais je me tiens disposé à admettre humblement que mon information est inexacte ou n'est plus à jour SUR DES BASES UN PEU PLUS RIGOUREUSES QUE LE SEUL BOUCHE A OREILLE!!! Donc avec des articles d'une presse reconnue pour la qualité de son information).
On m'a déjà proposé d'avoir un rapport sexuel non protégé. La personne m'a juste dit préalablement: "Je suis séronégatif et toi ?". Je ne rigole pas avec tant de désinvolture, on peut cacher (de façon tout à fait compréhensible) sa séropositivité comme un casier judiciaire ou un passé psychiatrique qui pourrait tout autant effrayer le partenaire et de façon parfaitement légitime. Donc, je refuse toujours de répondre mais je dis toujours à l'autre: "Je refuse de te dire ma sérologie à l'égard du sida mais si tu le souhaites, on va faire un test dans un centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG). Si j'en fais un pour toi, je veux que tu en fasses un en même temps".
La polémique avec mon ami hier soir est venue du fait de savoir le délai d'incubation du sida. Comme on peut le lire ici, pour être totalement sûr de sa sérologie (séropositivité ou séronégativité) après exposition à un risque, il faut attendre trois mois après le rapport sexuel concerné. Le corps médical a bien une vague idée avec un fort taux de probabilité au bout de 4 semaines mais la certitude absolue est au terme de 3 mois. Je me suis déjà fait traiter d'imbécile pas du tout au fait des dernières technologies, il ne s'agirait plus que de 2 mois. Sida Info Service dit bien trois mois, je n'ai pas connaissance d'une autre structure officielle en la matière qui écrive noir sur blanc autre chose sur le web. Ce qui a fait relativiser l'autre sur l'état de mon imbécilité en la matière.
L'ami m'a dit hier soir que j'avais tout faux, on le sait dès le résultat de la prise de sang avec confirmation une semaine après... Voir des gens qui prétendent savoir mieux que le corps médical les réalités des pires maladies, et ce, de façon péremptoire, ça me fait bondir! (Je ne prétends pas détenir la science infuse ni être au fait des dernières avancées scientifiques, mais je me tiens disposé à admettre humblement que mon information est inexacte ou n'est plus à jour SUR DES BASES UN PEU PLUS RIGOUREUSES QUE LE SEUL BOUCHE A OREILLE!!! Donc avec des articles d'une presse reconnue pour la qualité de son information).
lundi 24 décembre 2007
jeudi 20 décembre 2007
mercredi 19 décembre 2007
Variation alphabétique
Une chanson que je trouve rigolote (mais avec des paroles un peu mièvres). Il faut quand même reconnaître le talent de l'auteur du texte pour avoir réussi à placer chaque lettre de l'alphabet en "fin de vers"...
mardi 18 décembre 2007
vendredi 14 décembre 2007
La péronnelle du jour
Autrefois, on parlait de la pin-up du jour. Soyons à la page, changeons le vocabulaire et parlons de péronnelle au sujet de Rihanna. Le terme est sévère ? Bof. Les textes de ses chansons sont d'une vacuité devenue très ordiaire aujourd'hui mais il y a du rythme, c'est dansant (je danse dessus même si...). Et pour ne pas déparailler de ses congénères, elle ne doit pas avoir grand-chose d'intéressant à raconter à des gens, public potentiel qui ne la connaît pas et qui ne demanderait peut-être qu'à la connaître.
Qu'a-t-elle pour elle la jeune femme ? Des yeux splendides (encore que les lentilles font des merveilles aussi) et une très belle peau mate. Mais elle n'est pas belle! (Si on ne la connaît pas et qu'on ne voit qu'une photo de son visage, je maintiens qu'elle n'est pas belle). Et elle a de bonnes hanches. Je vous laisse juger...
jeudi 13 décembre 2007
A en perdre ma raison
Une très belle chanson écrite par les Pet Shop Boys (pour ceux qui ne savent pas, le nom de leur groupe signifie: "Les garçons de la boutique d'animaux domestiques), avec une interprétation alternative par Stephen Sondheim (version que je préfère).
La chanson est beaucoup plus connue sous sa version originale, par Liza Minelli avec un clip où elle semble tourner complètement démente (normal, puisque c'est le titre de la chanson).
mercredi 12 décembre 2007
Les Pierrafeu
Hier, histoire de me changer les idées, on m'a fortement recommandé de regarder les Pierrafeu (puis on me l'a reproché dans la foulée, également. Heu, ça ne restera pas sans conséquences tout ça...Héhéhé!)
Le film est complètement idiot. On retrouve bien les anachronismes qui ont fait le succès humoristique du dessin animé mais il n'est pas innocent que le dessin animé dure une demi-heure environ et qu'il ait ce format là. Essayer de l'étirer, non, ça ne va pas. Alors, évidemment, il y a des longueurs. Je ne regrette pas de ne pas être allé le voir à sa sortie, alors que j'adore le dessin animé. (Et puis, je dois bien l'avouer, il y a de l'affectif derrière. J'ai vécu ma prime jeunesse au Canada et la série était doublée en français à l'accent québécois et Fred Caillou jurait avec les jurons de là-bas. Un régal!). Ci-dessous, le générique du dessin animé (dont s'est inspiré le film).
mardi 11 décembre 2007
JI de la montagne
Bon ben aujourd'hui, c'est la JI de la montagne, (encore) une journée décrétée par l'ONU pour nous sensibiliser à la nécessité des montagnes (je trouve l'argument "nécessaire" crétin. On ne va pas les éliminer, elles sont là, elles existent, on y peut rien. Aux Etats-Unis, on érase les montagnes et le sommet que l'on a coupé, on le met dans le précipice vers la montagne suivante et on a une route toute plate, toute droite... Suffisait de le dire!)
Perso, je n'aime pas la montagne, je m'y sens enfermé, je suis plus favorable au bord de mer. Normal, même si j'ai quelque ascendance de régions un peu valloné de France, je suis d'origine viking, la mer dans son immensité insondable. (On connaît mieux l'espace intergalactique que le fond de nos océans).
Perso, je n'aime pas la montagne, je m'y sens enfermé, je suis plus favorable au bord de mer. Normal, même si j'ai quelque ascendance de régions un peu valloné de France, je suis d'origine viking, la mer dans son immensité insondable. (On connaît mieux l'espace intergalactique que le fond de nos océans).
lundi 10 décembre 2007
JI des Droits de l'Homme
Bon ben, aujourd'hui, c'est la JI des Droits de l'Homme. Pas grand-chose à en dire, si ce n'est que beaucoup de gens voient leurs droits et assez peu les devoirs que cela devrait imposer sur chacun d'entre nous...
Lien vers la page officielle de la journée, le texte complet de la Déclaration qui rappelle une certaine Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789... (J'avais vu une éminente avocate française féministe qui dénonçait le côté très sexiste de la Déclaration de 1789 puisqu'elle ne parle que de l'Homme mais pas de la Femme. Que penser d'une telle polémique ? Je n'en sais rien).
Lien vers la page officielle de la journée, le texte complet de la Déclaration qui rappelle une certaine Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789... (J'avais vu une éminente avocate française féministe qui dénonçait le côté très sexiste de la Déclaration de 1789 puisqu'elle ne parle que de l'Homme mais pas de la Femme. Que penser d'une telle polémique ? Je n'en sais rien).
dimanche 9 décembre 2007
Ce maillot n'est pas à moi
Voici la profession de foi des Bleus (l'équipe nationale française de foot). Nos commentateurs sportifs feraient bien de s'en inspirer avant d'être si franchouillard à l'antenne! De très nombreuses autres personnes, et pas forcément fan de foot devraient s'en inspirer...
Ce maillot n'est pas à moi
Il appartient à ceux qui l'ont porté avant moi,
Il appartient à ceux qui croient en leurs rêves.
Il appartient aux enfants qui jouent dans les cours d'école,
II appartient à ceux qui ont besoin d'avoir des héros,
Il appartient à ceux qui nous aiment jusque dans la défaite,
Il appartient aux enfants qui accrochent des posters sur les murs de leur chambre,
Il appartient à ceux qui nos donnent envie de courir plus vite,
Il appartient à ceux qui nous suivent jusqu'au bout du monde,
Il appartient à ceux qui ont besoin de partager leurs émotions,
Il appartient à demain, hier et aujourd'hui,
Il appartient à ceux qui pleurent quand on gagne,
Il appartient à ceux qui pleurent quand on perd.
Ce maillot leur appartient, ce maillot c'est eux.
Ce n'est pas moi qui porte ce maillot, c'est lui qui me porte.
Ce maillot n'est pas à moi
Il appartient à ceux qui l'ont porté avant moi,
Il appartient à ceux qui croient en leurs rêves.
Il appartient aux enfants qui jouent dans les cours d'école,
II appartient à ceux qui ont besoin d'avoir des héros,
Il appartient à ceux qui nous aiment jusque dans la défaite,
Il appartient aux enfants qui accrochent des posters sur les murs de leur chambre,
Il appartient à ceux qui nos donnent envie de courir plus vite,
Il appartient à ceux qui nous suivent jusqu'au bout du monde,
Il appartient à ceux qui ont besoin de partager leurs émotions,
Il appartient à demain, hier et aujourd'hui,
Il appartient à ceux qui pleurent quand on gagne,
Il appartient à ceux qui pleurent quand on perd.
Ce maillot leur appartient, ce maillot c'est eux.
Ce n'est pas moi qui porte ce maillot, c'est lui qui me porte.
JI contre la corruption
Aujourd'hui, c'est la journée internationale contre la corruption (Ca se saurait depuis belle lurette si la solution ne tenait qu'à l'organisation d'une journée internationale. Je crois que c'est plus inscrit dans les gènes humains que dans une véritable volonté radicale)
Bon, pas grand-chose à en dire, tout a été dit sur le sujet et je viens d'exprimer mon point de vue sur la question.
Si, peut-être un dernier truc: comment est classé la France (& co) au niveau mondial ? Selon l'Indice de Perceptions de la Corruption 2007 (fichier pdf), nous sommes bons 19e, derrière les puritains scandinaves.
Bon, pas grand-chose à en dire, tout a été dit sur le sujet et je viens d'exprimer mon point de vue sur la question.
Si, peut-être un dernier truc: comment est classé la France (& co) au niveau mondial ? Selon l'Indice de Perceptions de la Corruption 2007 (fichier pdf), nous sommes bons 19e, derrière les puritains scandinaves.
vendredi 7 décembre 2007
mercredi 5 décembre 2007
Recueillement
Je n'ai encore jamais eu l'occasion de raconter mes dernières vacances sur ce blog (début juin 2007).
D'habitude, les gens pensent aller bronzer, d'ailleurs, la commune où j'étais est réputé pour aller bronzer, il s'agit modestement que de Cannes, oui, oui, la ville du festival de cinéma. Une des nombreuses villes où il ne fait bon que paraître dans les grandes enseignes d'hôtel, les grands joaillers, les grands de la mode. Je laisse ce soin aux autres.
Non, j'ai préféré prendre le large et me recueillir religieusement dans les îles de Lérins, sur l'île de Saint Honorat (la plus méridionale des îles de Lérins).
D'habitude, les gens pensent aller bronzer, d'ailleurs, la commune où j'étais est réputé pour aller bronzer, il s'agit modestement que de Cannes, oui, oui, la ville du festival de cinéma. Une des nombreuses villes où il ne fait bon que paraître dans les grandes enseignes d'hôtel, les grands joaillers, les grands de la mode. Je laisse ce soin aux autres.
Non, j'ai préféré prendre le large et me recueillir religieusement dans les îles de Lérins, sur l'île de Saint Honorat (la plus méridionale des îles de Lérins).
C'est une communauté cistercienne établie (en 1988 à Saint Honorat, mais la communauté de Cîteaux existe depuis le Moyen-Age!) dans des locaux clunisiens (D'après ce que j'ai cru comprendre mais que je n'ai lu nulle part, les cisterciens et les clunisiens ne sont pas franchement amis-amis. Le lieu de fondation de chaque communauté se trouve à 133 kilomètres de kilomètres de distance l'un de l'autre, mais plutôt que de fonder une communauté commune, ils ont préféré esssaimé leur abbayes respectives sur à peu près tous les continents...). Voici le trajet de Saint Nicolas les Cîteaux (la ville la plus au nord des deux) vers Cluny.
Mis à part leurs querelles de clochers (qui ne rentrent pas dans mes centres d'intérêt de catholique romain plutôt fervent), ça a été une magnifique expérience, les cisterciens étant une communauté qui vit dans le silence et c'est bien apaisant (au-delà de reposant, nous sommes ici dans la spiritualité).
Original, il y avait des jeunes filles qui venaient réviser leur bac philo.
Original, il y avait des jeunes filles qui venaient réviser leur bac philo.
Ce qui m'a outré, c'est le manque de respect à l'égard de la religion et de la communauté des fidèles, aussi bien de la part des fidèles (hommes & femmes) que des touristes du dimanche qui venaient pour l'office. De nombreuses femmes sont venues en grand décolleté et jupes courtes (des tenues aussi inconvenantes que Cécilia Sarkozy pour le 14 juillet 2007, il n'était peut-être pas opportun en de telles circonstances d'avoir un décolleté et de montrer ses bras et ses mollets quelle qu'ait pu être la température ce jour là).
Et évidemment, les messieurs, c'est pas mieux. (Marcels, shorts riquiquis). Limite si un jour, ça ne sera pas le défilé des maillots de bains brésiliens!!!
Suspendu à ton coup de fil
(C'est le sens du titre de la chanson, "Hung Up" de Madonna).
Vous préferez quelle version. Plutôt l'original, la copie ou la parodie ?
L'original
La copie (on en pense ce que l'on en veut, mais c'est quand même un sacré boulot! On parle ici de Sims pour simulation)
Une parodie (entre tant d'autres!!! Heu, on en pense là encore ce que l'on veut, mais il fallait quand même le créer. Loli, la Madonna alternative de cette version, se désigne elle-même "el terremoto de Alcorcon", ce qui signifie "le tremblement de terre de Alcorcon, une cité dortoir de Madrid).
Non disponible sur l'iTunes Store (février 2008).
lundi 3 décembre 2007
Eric Emmanuel Schmitt
On remarquera le visage épanoui de Eric Emmanuel Schmitt, un grand écrivain actuel, très humble malgré que ce soit un homme archi-super-diplômé.
Je l'ai découvert au théâtre, par une pièce qui faisait un tabac à l'époque mais l'auteur (lui-même) n'était pas encore très connu des profanes. Il s'agissait de Variations énigmatiques. (Le titre de ses oeuvres est toujours empreint d'un mystère qu'on est tenté d'aller prospecter et de trouver probablement dans le récit de la pièce. Ici, en quoi une variation peut-elle être énigmatique ? Quelles peuvent être les variations énigmatiques d'un récit ? En quoi vont-elles être énigmatiques ? Pourquoi devraient-elles l'être ?)
Je l'ai découvert au théâtre, par une pièce qui faisait un tabac à l'époque mais l'auteur (lui-même) n'était pas encore très connu des profanes. Il s'agissait de Variations énigmatiques. (Le titre de ses oeuvres est toujours empreint d'un mystère qu'on est tenté d'aller prospecter et de trouver probablement dans le récit de la pièce. Ici, en quoi une variation peut-elle être énigmatique ? Quelles peuvent être les variations énigmatiques d'un récit ? En quoi vont-elles être énigmatiques ? Pourquoi devraient-elles l'être ?)
Si je vous en parle aujourd'hui, c'est parce que je viens de lire ce midi (c'est un auteur très facile à lire mais la qualité des idées n'en reste pas moins percutante...)
Le récit ? Il n'a pas beaucoup d'intérêt, c'est l'histoire émouvante d'un petit gamin malade du cancer et qui écrit des lettres à Dieu. Cela peut s'apparenter à une nouvelle philosophique sur les grandes questions philosophiques de l'homme au moment de mourir. A rapprocher (toutes proportions gardées!) du Petit Prince de Saint Exupéry.
samedi 1 décembre 2007
Du néant informatique aux blogs
Une (ancienne) amie m'avait demandé conseil pour acheter un ordinateur et les périphériques (tous les gadgets à acheter autour). Personnellement, je conseille seulement d'acheter un ordinateur avec son système d'exploitation (c'est évident, sinon, ben, on n'a qu'une vulgaire boîte à sardine, ce qui fait plutôt cher de la sardine)
Aujourd'hui, je recommanderais plutôt un ordinateur portable car il permet de se déplacer avec son ordi et de faire de l'Internet dans des bistrots reliés wi-fi à Paris (Bornes hotspot, équivalent mais hors des bistrots... et apparemment pas qu'à Paris).
Plutôt Mac ou PC ? Je suis très mal placé pour justifier plutôt l'un que l'autre, pour moi, ça relève du choix des couleurs & co., je ne peux vraiment pas me prononcer. JOKER!
Ensuite, je recommande l'acquisition de petites baffles pour s'écouter avec bonheur et un son amélioré tout ce qu'il est possible de se récupérer en ligne (et il y en a, très peu de gens savent tout ce qu'on peut trouver... Toutes les radios françaises de la bande FM et pas mal d'autres radios où l'on peut choisir pas mal de critères... Chaque petit carré y est une radio!)
(les miennes sont beaucoup plus jolies car la toile recouvre de façon unie).
Je recommande également l'acquistion d'un casque audio avec micro incorporé.
Cet ustensile permet de faire du Skype (téléphone gratuit d'un ordinateur qui possède le logiciel gratuit à un autre ordinateur équipé du même logiciel) et qui permet également de faire du podcast (un fichier audio gérable comme un fichier PDF, sauf qu'il s'agit d'un fichier sonore. Pour réaliser de tels fichiers, il faut un micro et disposer du logiciel Audacity, le destinataire pourra lire le document sur son lecteur mp3 ou son iPod).
Je recommanderais même aux personnes qui s'équipent ainsi de penser à prendre un casque + micro sans fil (il faut que leur ordinateur dispose de la technologie BlueTooth, j'en garde un souvenir d'un bien joli casse-tête et de longues heures d'attentes à la Fnac des Halles, très mal organisée et où on est très mal renseigné, Paris 1e).
Est-il nécessaire de se procurer une imprimante ?
Ensuite, je recommande l'acquisition de petites baffles pour s'écouter avec bonheur et un son amélioré tout ce qu'il est possible de se récupérer en ligne (et il y en a, très peu de gens savent tout ce qu'on peut trouver... Toutes les radios françaises de la bande FM et pas mal d'autres radios où l'on peut choisir pas mal de critères... Chaque petit carré y est une radio!)
(les miennes sont beaucoup plus jolies car la toile recouvre de façon unie).
Je recommande également l'acquistion d'un casque audio avec micro incorporé.
Cet ustensile permet de faire du Skype (téléphone gratuit d'un ordinateur qui possède le logiciel gratuit à un autre ordinateur équipé du même logiciel) et qui permet également de faire du podcast (un fichier audio gérable comme un fichier PDF, sauf qu'il s'agit d'un fichier sonore. Pour réaliser de tels fichiers, il faut un micro et disposer du logiciel Audacity, le destinataire pourra lire le document sur son lecteur mp3 ou son iPod).
Je recommanderais même aux personnes qui s'équipent ainsi de penser à prendre un casque + micro sans fil (il faut que leur ordinateur dispose de la technologie BlueTooth, j'en garde un souvenir d'un bien joli casse-tête et de longues heures d'attentes à la Fnac des Halles, très mal organisée et où on est très mal renseigné, Paris 1e).
Est-il nécessaire de se procurer une imprimante ?
Mettez-vous au vert, écologiquement parlant. Gardez vos fichiers dans votre ordi et laissez le soin aux autres de polluer en leur envoyant vos chefs d'oeuvre au format PDF.
Et un scanner ?
Et un scanner ?
Pour insérer de belles images, de beaux dessins dans son ordinateur ? Oui. Avant on scannait ses photos mais avec les appareils photos numériques, on les charge directement sur son ordi. (Je crois avoir compris que le père Noël, cette année, allait m'offrir un appareil photo numérique...)
Mais comment fait-on tourner l'ordinateur alors ? Qu'est-ce qu'on peut réaliser avec, alors ? Comme je l'ai déjà dit plus haut, tout ordinateur est équipé d'un logiciel système (à installer soi-même, parfois... tendance souvent d'ailleurs...). Et quelques logiciels de base: Acrobat Reader pour lire les fichiers PDF, un logiciel de navigation Internet
Internet, nous y voici. Et là, sur Internet, on a à peu près tout ce qu'il faut en suite bureautique (traitement de texte et tableur etc, etc). Il y a par exemple, le très performant Zoho, tous les logiciels gratuits du web et tous les logiciels Mac qu'on aurait voulu remiser un peu trop vite au grenier (précédents systèmes d'exploitation Mac). Enfin, il y a tous les services de Google (ça vaut vraiment le coup d'aller s'y perdre et d'en découvrir les très, très nombreuses fonctionnalités) dont l'hébergeur de mon blog, Blogger. (Le plus difficile pour réaliser une page web, c'est de vouloir gérer les couleurs avec le système RVB qui fonctionne sur le système de calcul binaire. Je sais comment ça marche mais il faut être très motivé pour écouter et chercher à comprendre, ce qui est le cas de peu de gens. Si vous êtes motivé, je vous explique dans l'instant mais ne vous débinez pas!)
Pour tenir un blog plutôt pas mal (comme le mien), voici les logiciels que je conseille d'utiliser (soit en téléchargement gratuit, soit à usage gratuit sur Internet).
En tout premier lieu, téléchargez-vous un éditeur HTML (le HTML est le langage de programmation des pages web, il est assez basique à comprendre, apprenez-le pour mieux vous dépatouiller des pages web et donnez-vous la peine de comprendre ce que vous lisez, parce qu'on m'a fait le coup aussi de me dire: "Je n'ai pas compris". "Ah bon, qu'est-ce que tu n'as pas compris ?" "Attends, faut que je relise d'abord pour te répondre ensuite...").
On peut insérer des tas et des tas d'images dans son blog. Je n'utilise que Google Images
Mais comment fait-on tourner l'ordinateur alors ? Qu'est-ce qu'on peut réaliser avec, alors ? Comme je l'ai déjà dit plus haut, tout ordinateur est équipé d'un logiciel système (à installer soi-même, parfois... tendance souvent d'ailleurs...). Et quelques logiciels de base: Acrobat Reader pour lire les fichiers PDF, un logiciel de navigation Internet
Internet, nous y voici. Et là, sur Internet, on a à peu près tout ce qu'il faut en suite bureautique (traitement de texte et tableur etc, etc). Il y a par exemple, le très performant Zoho, tous les logiciels gratuits du web et tous les logiciels Mac qu'on aurait voulu remiser un peu trop vite au grenier (précédents systèmes d'exploitation Mac). Enfin, il y a tous les services de Google (ça vaut vraiment le coup d'aller s'y perdre et d'en découvrir les très, très nombreuses fonctionnalités) dont l'hébergeur de mon blog, Blogger. (Le plus difficile pour réaliser une page web, c'est de vouloir gérer les couleurs avec le système RVB qui fonctionne sur le système de calcul binaire. Je sais comment ça marche mais il faut être très motivé pour écouter et chercher à comprendre, ce qui est le cas de peu de gens. Si vous êtes motivé, je vous explique dans l'instant mais ne vous débinez pas!)
Pour tenir un blog plutôt pas mal (comme le mien), voici les logiciels que je conseille d'utiliser (soit en téléchargement gratuit, soit à usage gratuit sur Internet).
En tout premier lieu, téléchargez-vous un éditeur HTML (le HTML est le langage de programmation des pages web, il est assez basique à comprendre, apprenez-le pour mieux vous dépatouiller des pages web et donnez-vous la peine de comprendre ce que vous lisez, parce qu'on m'a fait le coup aussi de me dire: "Je n'ai pas compris". "Ah bon, qu'est-ce que tu n'as pas compris ?" "Attends, faut que je relise d'abord pour te répondre ensuite...").
On peut insérer des tas et des tas d'images dans son blog. Je n'utilise que Google Images
Et quand je veux insérer des vidéos, je ne fais appel qu'à YouTube ou DailyMotion (même si j'en connais des tas et des tas d'autres... que j'utilise peu, puisque cela me convient déjà pas mal. Liste disponible sur simple demande...)
Il n'y a pas de mystères aussi pour tenir un blog et pour y avoir des trucs à raconter, il faut suivre l'actualité, y avoir des centres d'intérêt divers et variés. Les flux RSS y aident bien. (Si vous parlez anglais, c'est admirablement bien expliqué et en moins technique sur cette page de la BBC). Il faut aussi un lecteur de flux RSS pour les gérer. Le mien, c'est NetVibes. (Je crois que le navigateur web Firefox a un lecteur incorporé. NetVibes es ma page d'accueil sur Firefox).
Si vous vous cherchez de la presse avec un flux RSS (nombreux), allez sur Google Actualités du pays qui vous intéresse. Pour ce qui est des blogs, ils ont (quasiment) tous un flux RSS (même le mien, c'est dire, héhéhé).
Si vous voulez voir des onglets de lecteur de flux RSS, cliquez sur l'image NetVibes ci dessous
Si vous voulez voir des onglets de lecteur de flux RSS, cliquez sur l'image NetVibes ci dessous
(mon onglet NetVibes de presse généraliste française.
Les onglets en langue étrangère viennent à la fin)
(mon onglet NetVibes de podcasts francophones)
(mon onglet NetVibes de presse généraliste britannique,
avec un petit détour par Al Jazeera & le Japon, en anglais...)
(mon onglet NetVibes de presse généraliste espagnole)
Les onglets en langue étrangère viennent à la fin)
(mon onglet NetVibes de podcasts francophones)
(mon onglet NetVibes de presse généraliste britannique,
avec un petit détour par Al Jazeera & le Japon, en anglais...)
(mon onglet NetVibes de presse généraliste espagnole)
Tenez-moi au courant des progrès de votre blog, ça me fera toujours plaisir...
4 mariages & un enterrement
Et combien de divorces, 13 ans après (le film date de 1994) ? Et combien de Civil Partnerships depuis (devenu effectif fin décembre 2005. Pour ceux qui ne sauraient pas, il s'agit du mariage homosexuel au Royaume-Uni.
Quelque soit l'orientation sexuelle, tout couple uni légalement au Royaume-Uni a les mêmes droits civils au Royaume-Uni, à un détail près: les hétéros ont le droit au statut "marié", les homos n'ont drroit qu'au statut "Civil Partnership". Comme il s'agit du Royaume-Uni, l'Irlande du Nord était concernée, ce qui a conduit des couples homos de la République d'Irlande à s'unir par "Civil Partnership" puis à réclamer la même loi en Irlande à l'approche de nouvelles élections législatives. Et le parti favori a été contraint de le mettre dans son programme, et comme il a remporté les élections...).
Quelque soit l'orientation sexuelle, tout couple uni légalement au Royaume-Uni a les mêmes droits civils au Royaume-Uni, à un détail près: les hétéros ont le droit au statut "marié", les homos n'ont drroit qu'au statut "Civil Partnership". Comme il s'agit du Royaume-Uni, l'Irlande du Nord était concernée, ce qui a conduit des couples homos de la République d'Irlande à s'unir par "Civil Partnership" puis à réclamer la même loi en Irlande à l'approche de nouvelles élections législatives. Et le parti favori a été contraint de le mettre dans son programme, et comme il a remporté les élections...).
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