Hier matin (comme ces derniers jours), j'avais un peu la flemme de mettre un pied par terre (Je ne ferai pas ce bonheur à ces personnes qui me détestent honteusement de leur dire que je me lève du pied gauche. Me lever du pied gauche n'est pas très intéressant, me lever du pied droit me permet d'allumer mon sacro-saint ordinateur et la télécommande de la télé qui n'est jamais très loin).
Et le matin sur la TNT, ben c'est toutes les cochonneries de télé-poubelle américaine, entre les émissions de relooking, les célibataires qui trouvent leur mari/leur épouse (parfois, c'est plus rare à prendre un côté cirque, il s'agit d'homosexuels). Je ne citerai pas les programmes, il suffit de zapper sur la TNT pour savoir de quoi il s'agit.
Ce matin, j'ai vu un gars (j'ai pris l'émission en cours). Je ne sais pas quel âge il avait. (Rectificatif, le quidam dont il s'agit n'est jamais que Mark Philippoussis, ex-numéro 8 mondial à l'ATP, en 1999. Fin 2006, il était 91e. Il avait donc 33 ans dans l'émission de télé-poubelle.
Son nom me dit vaguement quelque chose, comme l'actuel numéro 8 mondial, Andy Murray).
Il en avait éliminé un bon nombre de soupirantes et c'était la finale. (Comme si le choix de sa copine se traitait en demi-finales et finale... Où est la morale dans un tel propos ? Rectificatif: S'il ne sait même plus distinguer le tennis de la vie sentimentale, je le plains... ) Une nana beaucoup plus âgé que lui et une autre plus jeune que lui, deux péronelles. Evidemment, il a pris la plus jeune après avoir conté fleurette XXL aux deux, de la même façon. Et la minette a poussé un cri de joie: "Ca y est, maintenant, il m'appartient". Quelle abomination de n'éprouver que de la satisfaction d'avoir un mec qui lui appartient avant même d'envisager les enjeux et les conséquences d'aimer et d'être aimée.
Quelques jours auparavant, j'étais tombé sur une autre émission américaine où la jeune femme devait sélectionner en demi-finale entre trois prétendants. Trois gars bien WASP (White Anglo-Saxon Protestant, le critère pour faire partie de l'aristocratie américaine. Le terme est en train de tomber en désuétude parce trop politiquement incorrect dans une Amérique qui commence à entrouvrir les portes de toutes les autres communautés existantes). Deux playboys et un gentil doux rêveur. Et la péronelle d'éjecter le doux rêveur au profit des deux playboys, genre à rayer le parquet...
Et le doux rêveur de raisonner bravement: "Si elle n'a pas voulu de moi, tant pis pour moi, tout ce que je souhaite, c'est son bonheur". Il préfère sacrifier ses émotions pour cette fille qui s'est comporté comme une péronelle. Cela m'évoque le jugement de Salomon (3e chapitre, verset 16 du premier livre des Rois. Je trouve qu'on ne s'y réfère pas sufffisamment souvent, c'est un comportement si fréquent dans notre quotidien). Cette fille ne vaut rien, le gars mentionné plus haut ne vaut rien non plus, s'ils valaient quelque chose, ils auraient trouvé un partenaire comme leurs ancêtres se sont trouvés avant de passer par le strass et les paillettes si malsains parce que si fallacieux de la télé-poubelle si sacralisée aujourd'hui.
Et le matin sur la TNT, ben c'est toutes les cochonneries de télé-poubelle américaine, entre les émissions de relooking, les célibataires qui trouvent leur mari/leur épouse (parfois, c'est plus rare à prendre un côté cirque, il s'agit d'homosexuels). Je ne citerai pas les programmes, il suffit de zapper sur la TNT pour savoir de quoi il s'agit.
Ce matin, j'ai vu un gars (j'ai pris l'émission en cours). Je ne sais pas quel âge il avait. (Rectificatif, le quidam dont il s'agit n'est jamais que Mark Philippoussis, ex-numéro 8 mondial à l'ATP, en 1999. Fin 2006, il était 91e. Il avait donc 33 ans dans l'émission de télé-poubelle.
Son nom me dit vaguement quelque chose, comme l'actuel numéro 8 mondial, Andy Murray).
Il en avait éliminé un bon nombre de soupirantes et c'était la finale. (Comme si le choix de sa copine se traitait en demi-finales et finale... Où est la morale dans un tel propos ? Rectificatif: S'il ne sait même plus distinguer le tennis de la vie sentimentale, je le plains... ) Une nana beaucoup plus âgé que lui et une autre plus jeune que lui, deux péronelles. Evidemment, il a pris la plus jeune après avoir conté fleurette XXL aux deux, de la même façon. Et la minette a poussé un cri de joie: "Ca y est, maintenant, il m'appartient". Quelle abomination de n'éprouver que de la satisfaction d'avoir un mec qui lui appartient avant même d'envisager les enjeux et les conséquences d'aimer et d'être aimée.
Quelques jours auparavant, j'étais tombé sur une autre émission américaine où la jeune femme devait sélectionner en demi-finale entre trois prétendants. Trois gars bien WASP (White Anglo-Saxon Protestant, le critère pour faire partie de l'aristocratie américaine. Le terme est en train de tomber en désuétude parce trop politiquement incorrect dans une Amérique qui commence à entrouvrir les portes de toutes les autres communautés existantes). Deux playboys et un gentil doux rêveur. Et la péronelle d'éjecter le doux rêveur au profit des deux playboys, genre à rayer le parquet...
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