Il y a quelques jours, je discutais avec une dame qui a pas mal de bon sens mais qui se perd parfois dans des propos un peu sordides tendance "pipeul". Elle parlait du suicide d'un jeune homme dans son proche entourage en me disant que sa mort était inexplicable, il avait tout ce qu'il fallait (argent, métier, une vie sentimentale épanouie, le soutien financier total de ses parents en cas de besoin, tout... selon les critères de cette dame.
Je trouve un tel propos arbitraire à en devenir offensant pour ce jeune homme et sa famille. La famille a essayé de tout faire pour le rendre heureux au quotidien mais il y avait du quiproquo, cette vie ne lui convenait pas alors il a quitté cet univers.
J'ai répondu à cette femme que le bonheur n'était pas dans le confort matériel et j'ai repris mon argument Dalida. Elle avait tout ce qu'il lui fallait pour être heureuse dans le cadre rigoureux des convenances sociales: elle avait de l'argent, elle avait la notoriété, elle avait un public, elle aurait pu se trouver un nouveau mari. Mais toutes ces réalités concrètes ne lui suffisaient plus, elle a préféré mourir que de jouer la comédie de l'artiste heureuse. Quelle horreur!
Cette dame m'a dit (propos que je condamne avec la plus grande vigueur): "Le cas de Dalida est particulier, on dit qu'elle était transsexuelle." Je trouve cela abject parce qu'au début de sa carrière, elle était femme au style assez commun et on n'envisageait pas du tout de dire à l'époque que c'était un homme (le sujet était même tabou). On aurait rien trouvé de mieux pour ternir une carrière trop brillante ?
Et puis, il n'y a aucun crime à être transsexuel, c'est une simple erreur de Dame Nature qui a mis un être avec une certaine sensibilité sexuelle dans l'anatomie opposée. Il y a des drames du transsexualisme. Quand l'administration tarde à accorder le changement d'état civil, ce qui empêche la personne à trouver un emploi (anatomie et tenue vestimentaire de femme avec un état civil tout ce qu'il y a de plus masculin), à affronter les questions déplacées au guichet des administrations, quand il ne s'agit pas de regards pour évaluer les ratés de l'opération ou des rires sous cape. Ce qui a pu conduire de très nombreux transsexuels à se prostituer pour subsister (les familles n'étaient pas toujours prêtes à admettre, pas toujours disposées à assumer de devoir dire: "Mon fils n'est plus mon fils mais ma fille").
Un autre drame du transexualisme, c'est Iran. L'aveu d'une homosexualité vaut peine de mort mais le transsexualisme y est reconnue et l'opération s'y fait légalement. Il est fortement soupçonné que des homosexuels se font opérer pour éviter la mort. Mais les spécialistes considèrent que cela peut conduire à des dépressions graves car un homosexuel n'est pas un transsexuel: un homosexuel est un être humain qui est biologiquement de sexe masculin qui se ressent ainsi et qui aime les hommes. Un transsexuel est un être humain qui est biologiquement de sexe masculin mais qui se ressent une femme. C'est tout aussi légitime que n'importe quelle chirurgie réparatrice quand on a les oreilles décollées, un strabisme, un nez de travers ou des dents mal alignées.
Et puis, il y a des transsexuels qui se lancent dans une carrière artistique en affirmant leur parcours personnel (Dana International) et ça marche bien pour eux, elles gagnent des Eurovision (pour Israël) et font de la pub (pour un réseau télé câblé israélien) avec Wentworth Miller de Prison Break.
Et puis, il n'y a aucun crime à être transsexuel, c'est une simple erreur de Dame Nature qui a mis un être avec une certaine sensibilité sexuelle dans l'anatomie opposée. Il y a des drames du transsexualisme. Quand l'administration tarde à accorder le changement d'état civil, ce qui empêche la personne à trouver un emploi (anatomie et tenue vestimentaire de femme avec un état civil tout ce qu'il y a de plus masculin), à affronter les questions déplacées au guichet des administrations, quand il ne s'agit pas de regards pour évaluer les ratés de l'opération ou des rires sous cape. Ce qui a pu conduire de très nombreux transsexuels à se prostituer pour subsister (les familles n'étaient pas toujours prêtes à admettre, pas toujours disposées à assumer de devoir dire: "Mon fils n'est plus mon fils mais ma fille").
Un autre drame du transexualisme, c'est Iran. L'aveu d'une homosexualité vaut peine de mort mais le transsexualisme y est reconnue et l'opération s'y fait légalement. Il est fortement soupçonné que des homosexuels se font opérer pour éviter la mort. Mais les spécialistes considèrent que cela peut conduire à des dépressions graves car un homosexuel n'est pas un transsexuel: un homosexuel est un être humain qui est biologiquement de sexe masculin qui se ressent ainsi et qui aime les hommes. Un transsexuel est un être humain qui est biologiquement de sexe masculin mais qui se ressent une femme. C'est tout aussi légitime que n'importe quelle chirurgie réparatrice quand on a les oreilles décollées, un strabisme, un nez de travers ou des dents mal alignées.
Et puis, il y a des transsexuels qui se lancent dans une carrière artistique en affirmant leur parcours personnel (Dana International) et ça marche bien pour eux, elles gagnent des Eurovision (pour Israël) et font de la pub (pour un réseau télé câblé israélien) avec Wentworth Miller de Prison Break.
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