ISTs, il s'agit des infections sexuellement transmissibles.
Selon le bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'Institut de veille sanitaire (InVS) publié tous les mardis, il y aurait une recrudescence des infections sexuellement transmissibles qui pourrait être le signal d'un relâchement de la prévention des comportements sexuels à risque, et le VIH/sida en tout premier lieu (puisque les autres infections, si elles sont prises à temps sont soignables plus ou moins aisément).
Dans un tel contexte, les autorités sanitaires tiennent bien évidemment à réaffirmer que les campagnes d'information et de prévention de ces infections et d'incitation au dépistage de la syphilis restent toujours d'actualité. De par mon expérience personnelle, ne croyez pas vos ami(e)s qui prétendent mieux savoir que vous les dernières nouveautés en matière de prévention, surtout s'ils prennent un ton péremptoire et qu'ils n'ont aucun diplôme médical. Ecoutez ce qu'ils ont à vous dire, demandez leur leurs sources d'information. S'ils n'en ont pas, posez-vous alors les bonnes questions et informez-vous auprès de sites qui ont pignon sur rue (Sida Info Service qui informe sur le sida et les MSTs/ISTs). Mon expérience ? Un pote m'a dit:"Les résultats d'un test de dépistage du sida donnent immédiatemment l'état du patient par rapport au sida au jour de la prise de sang". D'accord, je suis disposé à l'admettre si tu me dis quelles sont tes sources reconnues comme sérieuses par le corps médical. Parce que voici ce qu'en dit Sida Info Service, structure reconnue par le ministère de la Santé tout de même... Et le gars de se vexer parce qu'il n'a aucune source objective à me faire valoir. Il cherche alors bêtement à se justifier en poursuivant du même aplomb: "Oui mais moi, tu peux me croire, tu me connais et je le tiens d'un ami de confiance qui me l'a certifié." Quoi, la confiance comme de prévention ? Voici ce qu'en dit Sida Info Service. Il est indigne de faire valoir encore aujourd'hui cet argument depuis le temps qu'on sait que la confiance n'est pas un mode de prévention. Combien de personnes d'ailleurs ont cru pouvoir faire confiance à leur partenaire au point justement d'attraper le sida ? Mais il est bien évident que chacun reste libre de se déterminer plus fort, plus intelligent, meilleur que les services de prévention officiels. Il m'est même arrivé de me faire insulter à continuer à vouloir prétendre qu'on est sûr des résultats qu'au terme des trois mois. Non, non, on est passé à deux mois maintenant. Mais la personne n'avait aucune source à me faire valoir.
Toujours selon le BEH, les infections dues aux gonocoques touche particulièrement les hommes. "Cependant, la hausse du nombre d'infections à gonocoque est très marquée chez les femmes, avec une augmentation d'un facteur 3 entre 2005 et 2006". Ce qui "suggère une accélération de la transmission au sein de la population hétérosexuelle", note le BEH qui se préoccupe de la diffusion de souches résistantes à l'un des traitements (ciprofloxacine).
Autre MST en hausse, sans doute en partie en raison d'un meilleur diagnostic, les lymphogranulomatoses vénériennes rectales (LGV) dont l'agent infectieux est Chlamydia trachomatis. Cette forme de l'infection, qui a émergé en France et dans les autres pays européens en 2003, touche les homosexuels.
Chez la femme, l'infection causée par C.trachomatis est l'infection sexuellement transmissible bactérienne la plus fréquente. En l'absence de traitement, elle peut avoir des complications graves (grossesse extra-utérine, stérilité).
Selon le bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l'Institut de veille sanitaire (InVS) publié tous les mardis, il y aurait une recrudescence des infections sexuellement transmissibles qui pourrait être le signal d'un relâchement de la prévention des comportements sexuels à risque, et le VIH/sida en tout premier lieu (puisque les autres infections, si elles sont prises à temps sont soignables plus ou moins aisément).
Dans un tel contexte, les autorités sanitaires tiennent bien évidemment à réaffirmer que les campagnes d'information et de prévention de ces infections et d'incitation au dépistage de la syphilis restent toujours d'actualité. De par mon expérience personnelle, ne croyez pas vos ami(e)s qui prétendent mieux savoir que vous les dernières nouveautés en matière de prévention, surtout s'ils prennent un ton péremptoire et qu'ils n'ont aucun diplôme médical. Ecoutez ce qu'ils ont à vous dire, demandez leur leurs sources d'information. S'ils n'en ont pas, posez-vous alors les bonnes questions et informez-vous auprès de sites qui ont pignon sur rue (Sida Info Service qui informe sur le sida et les MSTs/ISTs). Mon expérience ? Un pote m'a dit:"Les résultats d'un test de dépistage du sida donnent immédiatemment l'état du patient par rapport au sida au jour de la prise de sang". D'accord, je suis disposé à l'admettre si tu me dis quelles sont tes sources reconnues comme sérieuses par le corps médical. Parce que voici ce qu'en dit Sida Info Service, structure reconnue par le ministère de la Santé tout de même... Et le gars de se vexer parce qu'il n'a aucune source objective à me faire valoir. Il cherche alors bêtement à se justifier en poursuivant du même aplomb: "Oui mais moi, tu peux me croire, tu me connais et je le tiens d'un ami de confiance qui me l'a certifié." Quoi, la confiance comme de prévention ? Voici ce qu'en dit Sida Info Service. Il est indigne de faire valoir encore aujourd'hui cet argument depuis le temps qu'on sait que la confiance n'est pas un mode de prévention. Combien de personnes d'ailleurs ont cru pouvoir faire confiance à leur partenaire au point justement d'attraper le sida ? Mais il est bien évident que chacun reste libre de se déterminer plus fort, plus intelligent, meilleur que les services de prévention officiels. Il m'est même arrivé de me faire insulter à continuer à vouloir prétendre qu'on est sûr des résultats qu'au terme des trois mois. Non, non, on est passé à deux mois maintenant. Mais la personne n'avait aucune source à me faire valoir.
Toujours selon le BEH, les infections dues aux gonocoques touche particulièrement les hommes. "Cependant, la hausse du nombre d'infections à gonocoque est très marquée chez les femmes, avec une augmentation d'un facteur 3 entre 2005 et 2006". Ce qui "suggère une accélération de la transmission au sein de la population hétérosexuelle", note le BEH qui se préoccupe de la diffusion de souches résistantes à l'un des traitements (ciprofloxacine).
Autre MST en hausse, sans doute en partie en raison d'un meilleur diagnostic, les lymphogranulomatoses vénériennes rectales (LGV) dont l'agent infectieux est Chlamydia trachomatis. Cette forme de l'infection, qui a émergé en France et dans les autres pays européens en 2003, touche les homosexuels.
Chez la femme, l'infection causée par C.trachomatis est l'infection sexuellement transmissible bactérienne la plus fréquente. En l'absence de traitement, elle peut avoir des complications graves (grossesse extra-utérine, stérilité).
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