On remarquera le visage épanoui de Eric Emmanuel Schmitt, un grand écrivain actuel, très humble malgré que ce soit un homme archi-super-diplômé.
Je l'ai découvert au théâtre, par une pièce qui faisait un tabac à l'époque mais l'auteur (lui-même) n'était pas encore très connu des profanes. Il s'agissait de Variations énigmatiques. (Le titre de ses oeuvres est toujours empreint d'un mystère qu'on est tenté d'aller prospecter et de trouver probablement dans le récit de la pièce. Ici, en quoi une variation peut-elle être énigmatique ? Quelles peuvent être les variations énigmatiques d'un récit ? En quoi vont-elles être énigmatiques ? Pourquoi devraient-elles l'être ?)
Je l'ai découvert au théâtre, par une pièce qui faisait un tabac à l'époque mais l'auteur (lui-même) n'était pas encore très connu des profanes. Il s'agissait de Variations énigmatiques. (Le titre de ses oeuvres est toujours empreint d'un mystère qu'on est tenté d'aller prospecter et de trouver probablement dans le récit de la pièce. Ici, en quoi une variation peut-elle être énigmatique ? Quelles peuvent être les variations énigmatiques d'un récit ? En quoi vont-elles être énigmatiques ? Pourquoi devraient-elles l'être ?)
Si je vous en parle aujourd'hui, c'est parce que je viens de lire ce midi (c'est un auteur très facile à lire mais la qualité des idées n'en reste pas moins percutante...)
Le récit ? Il n'a pas beaucoup d'intérêt, c'est l'histoire émouvante d'un petit gamin malade du cancer et qui écrit des lettres à Dieu. Cela peut s'apparenter à une nouvelle philosophique sur les grandes questions philosophiques de l'homme au moment de mourir. A rapprocher (toutes proportions gardées!) du Petit Prince de Saint Exupéry.
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