mardi 20 octobre 2009

Ecouter Radio France à domicile...

En allant sur mon compte Twitter (que je ne sais pas très bien manipuler, je dois bien le reconnaître...), je suis tombé sur les comptes que je suis. Et parmi ceux-ci, il y avait Radio France.

Et j'ai découvert que Radio France propose un widget qui permet d'écouter l'une des 7 radios de son groupe de radios. On peut écouter des podcasts (Je croyais qu'il suffisait de cliquer sur l'icône Podcast pour accéder au choix, j'étais plutôt déçu. Mais non, mais non ! Une fois cliqué sur l'icône Podcast, il faut appuyer sur le bouton avec le signe + et on peut rajouter les podcasts que l'on souhaite, service affilié à iTunes qu'il faut avoir de pré-installé sur son ordi. Pour les utilisateurs Mac, c'est pré-installé quand on achète l'ordi puisque c'est fabriqué par Apple. Il est également disponible dans les iPod et iPhone puisque c'est le logiciel qui gère la musique sur ces engins. Pour toute autre configuration, il faut l'installer...)

Non!

Mes trucs de communication

On dit souvent de moi que je suis bon, habile en communication. (Ca n'a pas été sans mal!) Et en règle générale, les gens qui me le disent le regrettent et se détournent de moi. On réorganise sa vie tout autour.

Il m'apparaît comme difficile d'établir une liste de priorités, je crois qu'il faut tout gérer en même temps, du mieux que l'on peut.

C'est la façon de marcher dans la rue: ne jamais regarder ses pieds. On m'opposera à cela: mais comment éviter les déjections alors ? Il suffit d'anticiper un peu plus tôt. Marcher comme si on marchait dans un lieu merveilleux, beau où il y a toujours quelque chose d'inattendu et d'agréable qui peut arriver à tout moment. Il ne faut peut-être pas pousser la démarche jusqu'à une certaine mièvrerie mais donner l'image d'un visage serein, tendance positive.

C'est aussi refuser la paresse et l'égoïsme intellectuel ou dans le relationnel humain que l'on trouve partout. Tout contact humain peut s'avérer intéressant (certains ne savent pas le mettre en valeur, il est cohérent de ne pas y donner suite), toute lecture peut être intéressante, enrichissante. Toute expérience également (à mon sens, une expérience est une activité dont on ne peut pas présumer la finalité mais dont on doit en tirer des conclusions pour ne pas en reproduire les pires aspects selon ses critères d'analyse sous peine d'être un con).

Quand on parle, la bonne communication, c'est ne pas "parler pour ne rien dire". Faire abstraction des adverbes qui ne servent à rien qu'à étourdir et embrouiller son interlocuteur: Quelle différence fondamentale entre dire: "C'est très beau" ou "c'est beau". La plupart du temps, les gens se moquent bien de savoir ce genre de détails, alors évitez ! Qu'est-ce qu'on en a à faire que "je crois très fort que" ou "je crois que...". Personnellement, je trouve les adverbes assez galvaudés et ce besoin de justifier son point de vue altère l'authenticité de ce que l'on veut dire.

Quand on exprime un point de vue, ne jamais employer une forme négative ou du moins, l'éviter au maximum en trouvant une autre tournure, plus positive: "Je ne veux pas que..." mais "je préfére que...". Fonder ses points de vue sur le bon sens commun (Récemment, en disant cela à quelqu'un, il m'a été répondu: "De quel bon sens tu parles ?". Je lui ai répondu que je n'en connaissais qu'un).

Toujours se montrer humble, toujours admettre que l'on peut se planter mais étudier son sujet pour en éliminer les faiblesses qu'on en a évaluées. Cela consiste à ne pas parler à l'indicatif ou à l'impératif pour exprimer une opinion, une préférence mais au conditionnel. Au lieu de "Je préfère que tu...", privilégier: "je préfèrerais que tu..." qui dégage un sous-entendu de "sous réserve de ton approbation". Ce qui force l'autre à devoir rechercher mon approbation de temps à autre. S'il ne le fait jamais, si elle ne le fait jamais, se charger de lui rappeler.

Ne jamais parler sur l'autre, ne jamais le commander de façon rigoureuse en lui disant: "Tu dois faire ça, comme ça" mais toujours dans l'humilité, lui dire quelque chose d'équivalent, du genre: "Je pense que le meilleur moyen d'agir, c'est de faire comme ça". Avec un sous-entendu évident: "Si tu te plantes, assume-toi même tes responsabilités". Il m'est arrivé de devoir le dire, ça vexe.

En cas de conflit (verbal) avec autrui, ne pas chercher à être le premier à affirmer son bon droit avec quelqu'un, ne pas se stresser, non. Dans l'entretien, ne pas laisser le ton monter, interrompre la conversation si nécessaire. Laisser l'autre fonder un discours, lui donner la satisfaction (illusoire) d'écouter ce qu'il a à dire, même si c'est faux et de mauvaise foi. A la rigueur, ponctuer de choses très concises genre "oui", "non", "c'est vrai", "c'est faux" sans hausser le ton. Offrir d'admettre peut-être quelques erreurs mineures (insister sur le doute). Ne pas commencer sa propre tirade tant que l'autre n'a pas fini la sienne (il aurait beau jeu de dire: "Oui mais c'est là où je voulais en venir, tu ne m'as pas laissé finir"). Laisser le temps à l'autre de dire tout ce qu'il a à dire en écoutant le propos général et en retenant les mots-clefs qu'il faut reprendre. Puis reprendre son discours et rectifier les inexactitudes (s'en tenir au terme d'inexactitude même si les propos sont odieux, ne susciter aucune polémique de vocabulaire pour faire déraper la discussion, une opportunité magistrale pour un opportuniste. Prétendre à une certaine indulgence: caractériser des mensonges par le terme inexactitude, caractériser une tromperie par un coup de canif dans le contrat mais ne pas moins en dire ce que l'on en pense. Voire en appeler à la conscience de l'autre). Il veut reprendre sa tirade ? Répondre: "Tu as eu ton temps de parole, laisse-moi le mien et on avisera ensuite." Une fois la conversation terminée, ne pas accorder de véritable droit de réponse aussitôt. Parce qu'il n'y aura pas de véritable explication mais un propos stérile et sordide, du genre: "Je t'ai dit que... et tu m'as dit que... et ben moi, je te réponds que..." qui finira à la violence verbale. Trouver un prétexte de devoir partir précipitamment mais de reprendre la conversation ultérieurement (et respecter, par contre). En réalité, il faut tout se dire dès la première explication et s'en tenir là, ne pas réclamer une autre fois pour en rediscuter, ça ne sert à rien. S'il s'agit d'une rupture amoureuse, c'est que l'autre veut le rétablissement de la relation. Je crois qu'une relation peut donner l'illusion au monde de se remettre ensemble mais il n'est pas sérieux de dire que ça va marcher.

Et si le dialogue n'est pas possible ? C'est illusoire et il faut attendre. On ne peut pas mourir avec quelque chose sur la conscience. Je connais deux, trois personnes dans cette situation à mon égard. Aujourd'hui, j'éprouve de l'indifférence à leur égard mais j'accepte toujours le dialogue avec tout le monde. Je ne serai pas rancunier mais je saurai en appeler à leur conscience et à leur mémoire comme juge de leur attitude à mon égard.

Non!

jeudi 15 octobre 2009

Parodies musicales

Comme à chaque fois que je fais une connaissance (intéressante, ça devrait relever du pléonasme, mais il y a des trahisons qui tardent à se révéler...), j'ai à coeur de publier un nouvel article sur le web.

Ce matin, en ouvrant mon Fluctat, je suis tombé sur des vidéos/parodies. Il s'agit de prendre des vidéos kitsch des années 80, d'en garder les images de la vidéo, de chanter la chanson avec la même mélodie mais les paroles, c'est le récit (assez plat, assez cul-cul) de ce qu'il se passe dans la vidéo. Ca peut donner quelque chose d'original...

Voici par exemple "Total eclipse of the heart" de Bonnie Tyler complètement revisité...





Par respect pour la chanteuse, voici l'authentique vidéo (1983)



Bonnie Tyler - Mullets Rock! Too! - Mullets In Love - Total Eclipse of the Heart

Ou "Losing my religion" par REMn revisité




N'oublions toujours pas l'original (1991)



R.E.M. - Out of Time - Losing My Religion


Et bonne rigolade à tous !!!


Non!

dimanche 11 octobre 2009

Prix Nobel de la Paix 2009

Encore une fois, je désapprouve le choix du comité Nobel norvégien (celui qui attribue le prix Nobel de la paix et le seul qui ne soit pas suédois, décision d'Alfred Nobel dans son testament fondant ces prix. La raison n'a jamais été trouvée).

Obama

Ainsi, monsieur Obama, 44e président des Etats-Unis est le prix Nobel de la Paix 2009. Encore une fois, je désapprouve pour de nombreuses raisons relayées dans la presse (qu'elle soit française ou américaine, d'ailleurs).

Parce qu'il est métis ? Parce qu'il est supposé musulman ? Ce sont là des polémiques d'arrière-garde qui ne m'intéressent pas.(La réalité, son père était kenyan et musulman. Un candidat américain au poste de président doit être américain de naissance. C'est pour cette raison que Schwarzenegger y a finalement renoncé. Monsieur Obama est en realité un fidèle de l'Eglise Unie du Christ, une communauté protestante). Je parle donc bien de l'homme qui gouverne les Etats-Unis, le gendarme du monde.

Tout d'abord, comme de nombreux analystes politiques, il n'a rien fait d'extraordinaire que son métier de président avec le budget qui lui est alloué. D'autant que le dépôt des candidatures au prix doivent être déposées avant le premier févier. Or, monsieur Obama a été investi président des Etats-Unis le 20 janvier. Et on ne peut pas vraiment dire qu'il était connu auparavant. (On peut m'opposer que ce sont les primaires qui l'ont rendu célèbres. Mais les primaires et la convention du parti ne font pas du candidat désigné un personnage d'action, seulement une personne qui parle beaucoup et qui prépare sa place à la Maison Blanche).

Selon le fonctionnement du comité Nobel de la Paix, il a donc reçu son prix pour 12 jours de présidence. N'est-ce pas un peu ridicule ? (Le journal américain FoxNews, très conservateur, très opposé à monsieur Obama, a publié un article intitulé "Comment obtenir le Prix Nobel de la Paix en 12 jours ?")

Comme je l'ai déjà expliqué auparavant, le président des Etats-Unis est élu sur un "ticket" avec son vice-président (en l'occurence, monsieur Joe Biden).

Biden

Pourquoi monsieur Biden n'a-t-il pas été nommé en même temps ? Pourquoi monsieur Obama n'a-t-il pas fait référence à lui en acceptant le Prix Nobel ? (Il faut bien reconnaître qu'en faisant son discours d'acceptation dans les jardins de la Maison Blanche, il a remercié son administration. La moindre des convenances).

Je trouve ce prix Nobel dangereux. On sait les crises nucléaires internationales qui existent actuellement entre les Etats-Unis et l'Iran, entre les Etats-Unis et la Corée du Nord. Monsieur Obama est pieds et poings liés si l'Iran ou la Corée du Nord fait usage de ses armes atomiques. Si monsieur Obama intervient militairement, on lui reprochera et on lui demandera des comptes sur le sens de son prix Nobel de la Paix, jusqu'à le ridiculiser. Pourtant, l'autorité du chef est primordiale pour diriger.

Un autre aspect que je déplore, c'est le manque de courage du comité Nobel. Même si cinq attentats ont été déjoués contre monsieur Obama depuis qu'il est président, il a un service de sécurité payé par l'état (ça facilite le militantisme pour la paix de savoir qu'on n'aura aucun problème de financement), sur lequel il devrait pouvoir compter. Ses voyages sont payés par le budget fédéral. Monsieur Luther King, prix Nobel de la Paix 1964, n'a jamais bénéficié du même traitement de faveur, l'actuel dalaï-lama non plus, daw Aung San Suu Kyi non plus (seule prix Nobel de la Paix, 1991, à être en état d'arrestation) avec des campagnes de dénigrements abjects des polices de leur pays. (On se souvient de l'archarnement de monsieur Hoover, patron du FBI, contre monsieur Luther King). Le comité Nobel s'honorait alors d'un peu plus de liberté d'expression et d'opinion.

Et puis, argument que j'ai découvert dans l'article de FoxNews cité plus haut. Je ne sais pas si c'est vrai mais il semblerait bien qu'un critère d'attribution du prix Nobel soit une rivalité de n'importe quelle nature avec monsieur Bush, 43e président des Etats-Unis. Ainsi, il y a eu Al Gore, prix Nobel de la Paix 2007 (personne n'a oublié l'épisode juridique sordide consécutif à l'élection présidentielle de 2000 opposant monsieur Bush et monsieur Gore, mais celui-ci se serait vu attribuer le prix Nobel pour son combat contre le réchauffement climatique. Quel rapport entre climat et paix ? Je n'ai toujours pas compris ou alors, c'est trop tiré par les cheveux pour moi...) il y a eu Mohammed elBaradei, prix Nobel de la Paix 2005 (en tant que directeur de l'Agence de l'Energie atomique. Il s'était opposé à monsieur Bush sur l'existence des armes de destructions massives détenues par Saddam Hussein) puis maintenant, le successeur de monsieur Bush. Si c'est exact, quel enfantillage ridicule. Donc que je désapprouve. Et puis, ce n'est qu'au peuple de juger le président qu'ils ont élu !

Non!

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