Je trouve que le titre de cette pièce correspond bien à l'esprit facétieux de Jean Cocteau (je croyais me souvenir que c'était du Sacha Guitry) à faire des provocations littéraires en remettant en cause des évidences de sens des mots.
Je n'ai pas vu la pièce (encore actuellement à l'affiche au jour où je rédige cet article) mais la contradiction (apparente) du titre me fascine à me pousser à la réflexion.
Un mensonge qui dit toujours la vérité.
Fascinant aussi de voir que si l'on inverse, ça n'a aucun sens (Une vérité qui dit toujours le mensonge). On peut dire la vérité mais on ne peut pas dire le mensonge, on ne peut dire qu'un ou des mensonges. Faut-il alors en déduire que la vérité est un absolu alors que le mensonge est une volonté humaine intentionnelle, donc bien moins noble ? La question reste ouverte...
Et Monsieur Hakim Bentchouala se donne des airs de monsieur Antonio Banderas.
Je n'ai pas vu la pièce (encore actuellement à l'affiche au jour où je rédige cet article) mais la contradiction (apparente) du titre me fascine à me pousser à la réflexion.
Un mensonge qui dit toujours la vérité.
Fascinant aussi de voir que si l'on inverse, ça n'a aucun sens (Une vérité qui dit toujours le mensonge). On peut dire la vérité mais on ne peut pas dire le mensonge, on ne peut dire qu'un ou des mensonges. Faut-il alors en déduire que la vérité est un absolu alors que le mensonge est une volonté humaine intentionnelle, donc bien moins noble ? La question reste ouverte...
Et Monsieur Hakim Bentchouala se donne des airs de monsieur Antonio Banderas.
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